Une nuit au poste de Eric Rouquette
Diane et Isabelle n’avaient rien pour se rencontrer et pourtant, ce soir-là, le destin va les réunir. Mais pas n’importe où : c’est au poste de police et plus exactement entre les quatre murs d’une cellule que les deux jeunes femmes auront une nuit pour se jauger, se juger, se découvrir et pour finalement se comprendre. On dit souvent que les contraires s’attirent ou sont complémentaires, alors peut-être cet accident de parcours est-il l’occasion rêvée de nouer une belle et indéfectible amitié…Humour et émotions sont au rendez-vous.
Quelques mots de l’équipe :
« Dans cette dernière pièce, on aime à se laisser porter par la fantaisie des personnages. Anne-Lyse Boussy et Séverine Hinschberger campent des personnages en mal de vivre sous la direction de la metteur en scène Véronique Pidancet- Barrière. »
A19h, le vendredi 10, samedi 11, mercredi 15 et vendredi 17. A 17h, le dimanche 12.
|
La 4ème comédie de Denis Cressens
Qui peut prétendre que la vie amoureuse soit terminée passé 45 ans et plus ...
Elles sont trois femmes, trois amies et sont à la recherche d’un nouvel amour.
Il y a Laure, veuve et prête après deux ans à revivre une nouvelle histoire sentimentale, Pascale qui n’a jamais de chance dans ces choix amoureux et Maguy qui est plutôt terre à terre et sans pitié avec les hommes.
Quelques mots de l’équipe :
« Nous nous sommes bien amusées toutes les trois à chercher et à jouer ces personnages de femmes actuelles. J'ai réécrit la fin de l'histoire afin de ne pas nous faire lyncher par les hommes à la sortie ... Non, je plaisante, les hommes sont les premiers à en rire, parce qu'après tout, ils se reconnaissent un peu , en partie et parfois beaucoup. J'ai souhaité une fin plus heureuse pour que les hommes ne se disent pas que les femmes sont leurs pires ennemies. Je ne connaissais le Théâtre de l'Orme que par le bouche-à-oreille ... Et j'ai rencontré son directeur la semaine dernière. Un homme charmant, ouvert, passionné ... Un peu comme moi quoi ! Le lieu est chargé de VIE et on s'imagine bien y jouer en complète cohésion et échanges avec le public. Musicienne et chanteuse (oui aussi, bon ...), j'aime l'idée que ce lieu mêle le théâtre, la musique mais aussi les autres arts (peinture, clowns, magiciens etc.). »
à 21h, le lundi 13. A 19h, le mardi 14 et le samedi 18. A 17h, le dimanche 19.
|
Dans le noir… de Georges Ghika
Dans le noir… retrace, le temps d’une représentation, le parcours de deux anciens amants. Une histoire qui confronte leur conscience à la réalité. Ce voyage se veut tortueux et sensuel.
Un mot de l’équipe :
« Nous connaissons bien le théâtre de l’Orme qui est un lieu presque sacré pour nous. Nous devons beaucoup – c’est-à-dire presque tout - à Ada et Laurent, les maîtres des lieux. Et des maîtres tout court. Nous les aimons. Nous espérons que, dans cette création, nous ferons passer cet amour et celui du théâtre. »
A 21h, le mardi 7, mercredi 8 et jeudi 9.
|
Amour Amor d'après Federico.Garcia.Lorca
L'histoire commence sous une forme burlesque où des personnages caricaturaux se succèdent pour participer au mariage forcé de Dona Rosita et de Don Cristobal. Hélas Dona Rosita aime Léonard et ne peut vivre sans lui. Amour contrarié, amour impossible, amour ardent qui consument par la racine les personnages. Solo pour corps de femme où se joue la tragi-comédie de l'amour qui torture, révulse, comble, démembre et emporte pour laisser pantelant devant l'image flétrie par le temps.
A 15h, le samedi 4 et dimanche 5.
|
Assassine de Noémie Trancoso
Un monologue mêlant théâtre, doublage et court-métrage.
Les thèmes principaux sont la solitude, la folie, l'ennui et l'insatisfaction.
Nous nous sommes inspirés de la BD "Tank Girl" pour créer le personnage de Sara, ensuite nous avons puisé dans le quotidien, les manies, les habitudes, les obligations, les concessions... Pour faire de cette pièce une critique optimiste de notre société.
Le message est simple : "souriez avant de crever."
A 19h, le mercredi 8.
|
Cactus Chamalo de Noémie Trancoso
Une comédie déjantée.
Le principal thème de cette pièce est la drogue : nous mettons en scène l'immersion brutale et intégrale dans l'univers de la psychédélique de la drogue avec ses plaisirs et ses dangers, ses faits et méfaits. Le défi de cette pièce était de transposer une ambiance cinématographique au théâtre. Nous nous sommes inspirés du film "Las Vegas parano" pour l'atmosphère et de différents "twists movies" pour l'écriture. Soit les films tels que "sixieme sens" ou "Fight club" qui parviennent à manipuler le spectateur en lui cachant un détail fondamental, révélé à la fin.
Ainsi CACTUS PARANO est un " twist theater", une comédie qui prend tout son sens à la dernière scène.
A 21h, le mercredi 22 et jeudi 24.
|
A corps perdus de Audrey Massimino et Ludivine Anglade
Une pière obscur, un homme et une femme ; prisonniers. Un choeur qui emboîte leurs pas et dans ce choeur, une âme sensible et impertinente. A corps perdus. Accord perdu, un thriller théâtro-cinématographique.
A 21h, le samedi 4 et lundi 6. A 17h, le dimanche 5. A 19h, le mardi 7.
|
Cinq nuits de Alice Fagard
Cette chanson chaloupée que me chantait ma mère, le soir pour m’endormir, et qui aujourd’hui encore habite mon corps, ma tête, mon ventre, mes orteils, comme si j’étais fait de musique, rien que de musique, et de souvenirs.
A 21h, le mardi 28.
|

D’où venons-nous?
que sommes-nous?
où allons-nous?”
Le voyage d’Abel nous invite à entrer dans un moment suspendu. Un ailleurs où le temps, les sons et les codes ne sont plus les mêmes. Comment d’un rien naît un tout. On y découvre un cocon, un être en plein éveil, qui prend vie comme un papillon sort de sa chrysalide. Cette aventure humaine qui est la nôtre.
Dans cet espace rassurant, Abel n’est encore qu’un tout petit rien. Il goûte chaque instant de la vie qui s’éveille en lui. Il a soif de découvertes, d’explorations, de se mouvoir toujours plus haut, toujours plus loin. Au delà des frontières de son territoire, il peut maintenant entrer dans un nouvel espace.
Comment, malgré les risques, sommes-nous toujours poussés à avancer? Dépasser nos (ou les) limites pour se sentir grandir?
Abel avance sans protection dans ce vide qui le traverse. Mais à quelques pas de là...
Abel n’est pas tout seul.
A 17H, le 24 et 25 juillet